”
Je voudrais aller très loin dans un endroit plein d'autre
chose
et je cherche même pas à l'imaginer, pour ne
pas le gâcher. “
Romain Gary
” Et les bonnes fins sont toujours des débuts.
“
Thomas Vinau
”En
ma fin est mon commencement.
Nous n'aurons de cesse d'explorer,
Et la fin de toutes nos explorations
Sera de revenir à l'endroit d'où nous sommes
partis
Et de connaître le lieu pour la première fois
. “
T.S. Eliot
Fin
de l'histoire (hivernage
)
La
fin de l'histoire
C'est
la fin de l'histoire et vous ne le savez pas. Il est là,
debout devant la fenêtre, et vous lui en voulez de masquer
la lumière. Ce n'est pas lui que vous voyez mais le
jour qu'il empêche d'entrer. Ça commence comme
ça. Il est là et sa présence vous gêne.
Vous ne l'attendez plus. Vous rentrez le soir et vous allumez
la radio. Un baiser distrait après avoir quitté
vos chaussures. Le silence tout de suite après. Vous
ne savez comment c'est arrivé. Depuis combien de temps.
Vous pensiez que ce ne serait pas possible. Pas lui, pas vous.
Vous connaissiez les pièges, le quotidien, les courses.
Il paraît que les lessives tuent l'amour. Vous n'y avez
jamais cru, vous refusez de vous laisser enfermer dans pareil
cliché. Et pourtant, la fumée de sa cigarette
vous gêne. C'est un signe. Vous renoncez à interpréter
les signes.
Vous n'avez rien vu venir et vous ne l'aimez plus. Vous demandez
à vérifier. Il s'agit d'être sûr.
Mais vous doutez. En fait, vous l'aimez et ne l'aimez pas
à la fois. Il faudrait vous décider, ça
devient agaçant. Vous l'aimez pensez-vous, mais ne
supportez pas quand il traverse le salon en peignoir. Quand
il s'installe devant la télévision dans cette
tenue, les cheveux encore mouillés, plaqués
en arrière. Lui, sans doute vous l'aimez, mais c'est
la même scène répétée chaque
jour qui vous indispose. Il ne s'agit pas de tout mélanger.
Ce qui est sûr, c'est que vous éprouvez de la
tendresse pour lui. C'est ce que l'on dit, paraît-il,
quand on n'aime plus. Plus on éprouve de tendresse
et moins on aime, alors ? Mais qui peut dire la différence
entre les deux ? La tendresse, c'est quand on n'a pas de désir.
On se caresse la joue avant de s'endormir. C'est Pimprenelle
et Nicolas.
Et pourtant vous n'en êtes pas là. Vous faites
l'amour, il n'y a pas de doute. Plutôt souvent et avec
conviction. Mais vous trouvez qu'il s'y prend mal. S'y prend-il
mal d'ailleurs ou est-ce vous qui pinaillez ? Ça dure
depuis combien de temps ? Et pourquoi vous n'en avez pas parlé
avant ?
Vous repoussez l'idée de ne plus l'aimer. Vous n'imaginez
pas qu'il faudra le lui dire. Alors vous en faites votre affaire.
Vous vous accommodez. Vous acceptez de ne plus supporter :
sa démarche, sa conduite, la musique qu'il écoute.
Sans en faire un drame. Vous êtes désagréable.
Parfois blessante, mais vous camouflez. Puis vous n'y tenez
plus. Ça vous échappe. Vous alignez les reproches,
vous ressemblez à votre mère. Vous vous détestez.
Vous vous ressaisissez, donnez encore une chance à
votre histoire. Vous êtes douce, conciliante, juste
ce qu'il faut pour relancer la machine. Ne pas être
obligée de parler de cela. Une semaine s'écoule,
parfois deux. Vous allez au cinéma, vous invitez des
amis, vous partez en week-end à la montagne. Vous pensez
que vous vous égarez. C'est bien l'homme de votre vie.
Vous avez été injuste, impatiente, d'une exigence
maladive. Vous vous prenez pour qui ? Puis il oublie ses clés
et ça vous crispe, il tente de vous embrasser dans
le cou et vous repoussez son élan. Vous dites que vous
n'avez pas le temps. Vous êtes bardée d'excuses.
Vous pensez que tout est sa faute. Depuis quand est-ce sa
faute ? Ça a commencé quand ?
Vous convoquez votre mémoire, scrutez le moindre détail.
Vous traquez les indices, il vous faut des preuves. Vous ne
croyez pas à votre négligence, ça ne
vous ressemble pas. Vous refusez d'admettre que vous avez
pu vous tromper. Vous avez une plus haute opinion de vous-même.
Mais plus vous cherchez, moins vous comprenez ce qui s'est
passé. Vous vous repassez le film, depuis le premier
jour. Votre rencontre après un spectacle de danse.
Votre première conversation au téléphone.
Votre premier dîner. Votre première nuit. Vos
premières vacances. Biarritz, l'hôtel au-dessus
de la mer, le vent et l'océan déchaîné.
Votre premier retour de vacances. Votre regard triste à
l'idée de vous séparer pour reprendre le travail.
Non, vous ne voyez rien dans tout cela qui aurait pu vous
alerter. Il fumait dans la voiture et ça ne vous incommodait
pas. Il buvait beaucoup le soir au restaurant et vous buviez
avec lui. Il perdait son briquet, ses lunettes, ses papiers
et ça vous paraissait romantique. Il vous attendrissait.
Il était unique, désinvolte, étourdi.
Tellement différent, vous semblait-il. Le premier appartement
que vous avez visité, vous vous en souvenez parfaitement.
Vous étiez d'accord, sur tout. Tout vous convenait.
L'humidité ne vous décourageait pas, ni le bruit,
ni le manque de chauffage, ni l'exiguïté des lieux.
Vous vous en fichiez. Vous le dévoriez des yeux. Vous
ne possédiez rien que l'avenir devant vous. Vous étiez
immortels. Vous aviez tout le temps.
Et ce temps aujourd'hui, qu'en faites-vous ? Vous l'anéantissez.
Vous évaluez, comparez, interprétez. Vous faites
de votre temps une échelle de valeurs. L'homme de votre
vie est devenu un terrain d'expérimentation. Vous le
mettez à l'épreuve, vous le forcez à
rentrer dans des cases, celles qui vous conviennent. Vous
lui assignez une place. Vous lui concédez un rôle.
Vous exigez que rien ne dépasse. Vous le traitez comme
un objet dont vous décidez de l'usage. Vous disposez
de lui à volonté. Vous avez idée de ce
qu'il doit faire, penser, accepter. Vous voulez l'éduquer,
le rééduquer. Vous ne l'aimez plus. Vous l'avez
vidé de sa substance, vous l'avez usé. Il est
devant vous, démuni et fatigué. Et ainsi, il
ne vous plaît plus. Une coquille vide que vous avez
aspirée. Peut-on aimer une coquille ? Peut-on aimer
un homme qui ne se rebelle pas ?
Est-ce que ça a commencé au premier jour ? Est-ce
vous qui avez tué votre histoire ? On dit que la fin
est inscrite dans le commencement. La faute à qui alors?
À celui qui a dévoré l'autre ? À
celui qui s'est laissé dévorer ?
in L'amour est très surestimé, Brigitte
Giraud Edit°
Stock, 2007
Gens de Mercure, ami.e.s de la Poésie ou pas,
salut,
Après de nombreux doutes et atermoiements, la
décision a été prise. C'est aujourd'hui
la fin de la Liste du Mercredi, on s'empresse de préciser,
sous sa forme actuelle.
Les
publications s'arrêteront à partir d'aujourd'hui.
Il n'y a à ce jour aucune date de reprise prévue
car tout reste, paraphrasant Rimbaud, à
réinventer.
Ce qui est certain c'est qu'il n'y aura plus de petites
annonces car la contrainte de publication hebdomadaire
ne nous apparait plus tenable.
La Liste du Mercredi changera de nom et deviendra
probablement La Lettre de Mercure dont le projet
est de créer une revue de poésie contemporaine
à plus long terme.
Parallèlement, nous continuerons (sous la forme
d'un blog, peut-être) à explorer, selon
nos envies, humeurs du moment, des textes littéraires
au sens large, regroupés autour d'un thème
ou non, bref ce que nous aimons faire et partager avec
vous depuis des années déjà. Images
et musiques continueront à les agrémenter.
Vous
serez informé.e.s de la progression du projet
via le site actuel (qui sera actif jusqu'en mars 2025).
Nous vous rappelons que vous pouvez vous désabonner
de la liste de diffusion à n'importe quel moment,
soit sur le site sur
ce lien, soit en suivant le lien situé en
bas à gauche dans le mail reçu hebdomadairement.
Qu'importe,
gens de Mercure, ami.e.s de la Poésie ou pas,
on vous remercie pour votre fidélité,
depuis 2006 pour certain.e.s d'entre vous, et l'on vous
souhaite une bonne fin d'année, espérant,
pour les plus curieux et téméraires, vous
retrouver en 2025 pour débuter une nouvelle aventure.
La Liste du Mercredi
#
DONNE
Par
clarachercheunappart
@ yahoo.com (espaces=nospam)
[Villeurbanne]
Bonjour ,
Je donne pour ateliers, collages, enfin ce que vous
voudrez,
un lot de 38 cartes postales anciennes et 10 dépliants.
A récupérer sur Villeurbanne flachet ou
cusset.
Bonne journée!
#
BOUTEILLE A LA MER
Par
rabeyron.isabelle
@ orange.fr (espaces=nospam)
[Tassin]
Bonjour à toutes et à tous,
Je suis à la recherche de housses de couette,
draps-housses et couettes (lits 1 place et lits 2 places),
ainsi que de grandes serviettes de toilette pour l'association
où je suis bénévole, L'Ouvre
Porte.
Nous hébergeons dans des maisons mises à
notre disposition des mères isolées sans-abri
et leurs enfants et nous ouvrons bientôt une nouvelle
maison de 5 chambres pour laquelle nous avons besoin
de linge.
N'hésitez pas à me contacter pour en savoir
plus et trouver un lieu de rendez-vous.
Merci,
Isabelle
#
BOUTEILLE A LA MER / CAMPAGNE DE SOUTIEN
Par
l.retornaz
@ gmail.com (espaces=nospam)
[Lyon]
CAMPAGNE DE SOUTIEN AU FILM KNAM - UN THÉÂTRE
EN EXIL
Ce
film documentaire suit le travail de création
artistique d'une troupe de théâtre russe,
exilée à Lyon. La metteuse en scène
et les comédien·nes ont fui le régime
poutinien et tentent à leur manière de
résister. Ce film me semble crucial, car il donne
la voix à un groupe très peu entendu dans
les médias dominants :
celle des artistes russes en exil.
KnAM - Un théâtre en exil - Soutenir
le film - ICI
Je
travaille à ce projet depuis un an et demi déjà.
Nous avons avec l'équipe de production investi
beaucoup d'énergie à l'écriture
du film et postulé à de nombreux guichets
de subventions publiques et privés, sans succès.
Des guichets qui ne soutiennent de toute façon,
qu'entre 5 à 10% des projets reçus.
Pour poursuivre le travail sur ce film qui nous tient
à coeur, nous avons donc besoin de votre soutien
!
2/3 du don est déductible pour les personnes
payant des impôts.
TEASER
(Pour
effectuer le don, il est préférable d'utiliser
le navigateur Google Chrome)
Par
sacha.steurer @ gmail.com
(espaces=nospam)
[Lyon]
Cycle d'initiation à la Danse
du Tournoiement
10 séances du lundi 16
décembre 2024 au lundi 24 mars 2025
de 18h à 19h30 (hors vacances de Noël)
dans la salle du Collectif La Machine, 7 rue Justin
Godart Lyon 4
La
danse du tournoiement est une danse de l’écoute,
une forme de méditation en mouvement. On la connaît
souvent sous la forme de l’art des derviches tourneurs
bien que ce mouvement archétypal soit universel.
Cette danse peut favoriser l’ancrage, l’élévation,
l’abandon et l’ouverture du cœur. C’est
un retournement en soi-même qui nous ouvre à
un voyage inhabituel : intérieur et vertical
!
Nous allons en douceur vers ce mouvement de tournoiement
grâce à un éveil corporel, grâce
au rythme et à la pratique de la méditation.
La poésie vient fondamentalement soutenir l’envol.
Le choix musical comme celui des poèmes peut
autant être emprunté au répertoire
soufi qu’à d’autres répertoires
d’orient ou d’occident. La gratitude, l’ouverture,
la clarté et le courage sont au cœur de
la pratique comment autant de vertus à développer
grâce à la danse. Cet atelier s'adresse
à toutes et à tous sans prérequis.
Sacha Steurer
Danseuse, poète, professeur diplômée
d’état en danse contemporaine. Après
des études de danse contemporaine axées
sur la pluridisciplinarité auprès de Maguy
Marin et Mathilde Monnier, elle s’intéresse
particulièrement au lien entre danse et art de
vivre, danse et rituel. Dans sa pédagogie, elle
est particulièrement vigilante à créer
une atmosphère de confiance dans laquelle chacun
puisse se livrer librement à la pratique.
Les jours crient leur impatience
comme les pages d’un livre jamais ouvert
Ça sent la conspiration, ça sent les feuilles
écrasées
sous les talons
ça rappelle les piercings dans les tétons
ou les parents suspendus à un pont
L’impatience est l’espoir injuste offert aux
autres
que tu veux récupérer
ou la chanson d’attente au téléphone
qui n’arrive jamais au refrain
L’impatience est l’envie brûlante
de prendre le volant
et de conduire suffisamment vite
pour voir les peurs s’éloigner dans le rétroviseur
comme un boomerang qui a rempli sa mission
S’ensuit
un temps
où tout se chuchote avec stupeur
un temps provoqué par des substances illicites
avec des maisons feutrées
des songes déguisés
et des gens bienveillants aux visages irradiants
comme si le soleil passait par leurs veines
Et
moi dans ce vertige
avec les yeux collés d’un chaton avorté
j’additionne les heures de sommeil
des dernières années
Le
compte n’y est pas
mais à l’autre bout du lit
frémit d’impatience un autre jour
déjà résigné
in Le blues roumain vol. 2 (Unicité, 2021)
traduit du roumain par Radu Bata
Paula Lavric
Née le 29 juin 1990 à Tulcea en Roumanie.
#
ATELIERS
Par
ludivinegenin
@ hotmail.com (espaces=nospam)
[Lyon]
Bonjour à tous,
Voici le programme des animations et ateliers de novembre
et décembre
chez Artimbale, boutique hybride éco-responsable
,
59 avenue Felix Faure, Lyon 3
Inscriptions en boutique, ou à artimbale @ gmail.com
espaces=nospam
ou par MP sur insta ou facebook
NOVEMBRE
...
DÉCEMBRE
...
Mer.18 - 15h – 17h
- Jeux de société - de 6 à 126
ans - Démo Jeux Opla – GRATUIT /
Ven.20 - 12h15 - 13h15
– Sophrologie - 15€ /
Ven.20 - 17h30 – 18h30
- Présentation créatrice lyonnaise - L’art
de l’herbaliste – GRATUIT /
Au
plaisir !
#
ATELIERS
Par
art.et.sens
@ zaclys.net (espaces=nospam)
[Lyon]
Pour
partager un moment joyeux et créatif ou pour
donner enfin l'occasion à une per-
sonne chère d'oser faire entendre sa voix
!
Plutôt
que d'acheter un énième objet, pourquoi
ne pas offrir une expérience unique
?
L'improvisation vocale est une pratique artistique
qui consiste à produire de façon
spontanée des sons a capella grâce
la voix et au reste du corps.
# RELAIS D'INFORMATION / AGENDA
Par
information
@ theatredeliris.fr (espaces=nospam)
[Villeurbanne]
Les
Fourberies de Scapin
De Molière, par la cie de l'Iris.
Mise en scène
Philippe Clément
En l’absence de leurs parents respectifs, Octave
s’est marié en secret avec Hyacinthe et Léandre
est tombé amoureux fou d’une égyptienne,
Zerbinette.
Mais voici que les deux vieux pères tyranniques,
Argante et Géronte, rentrent inopinément
de voyage avec des projets de mariage pour leurs rejetons…
Scapin, le valet de Léandre, aussi sympathique
que quelquefois ambigu, se met du côté
de la jeunesse et s’engage à tout arranger
dans ce conflit des générations, distribuant
habilement mensonges, flatteries et solutions, se vengeant
aussi de
sa condition de valet par quelques coups de bâton
devenus célèbres.
Derrière le comique irrésistible de cette
comédie à l’italienne, Scapin, en bon
ancêtre de Guignol, nous assène une critique
féroce de la société des humains.
L'improvisation
vocale est une pratique artistique qui consiste
à produire de façon spontanée
des sons a capella grâce la voix (chant,
voix parlée) et au reste du corps (beatbox,
percussions corporelles), en utilisant notamment
des jeux comme la Circlesong et la co-improvisation.
En
improvisation vocale, on peut aller convoquer
le conte, la poésie, le slam, le lyrique,
les paysages sonores... et tant encore ! Mais
le plus beau, c'est qu'iel n'y a pas besoin de
"savoir chanter" pour participer. Viens
juste oser et te faire plaisir grâce au
son et au rythme !
Au plaisir de s'y retrouver !
Par
chretien_annelise
@ yahoo.fr (espaces=nospam)
[Lyon]
Accès à l’œuvre en tout temps
selon les heures d’ouverture du Fort :
Du lundi au samedi de 8h à
20h et le dimanche de 8h à 18h
Ouverture de l’exposition pendant les heures
de visite :
Les mercredis et samedi de 14h
à 17h
Dans le cadre de la 17e Biennale d'art contemporain
de Lyon,
venez découvrir TRAMES au Fort de Feyzin
Imaginée par le chorégraphe Jordi
Galí (cie Arrangement Provisoire),
TRAMES est un tissage monumentale de 12 m de haut,
réalisé entre
octobre 2023 et juin 2024 par 200 personnes de la
Métropole de Lyon,
habitant.e.s de longue date et primo-arrivant.e.s,
adolescent.e.s et
séniors, étudiant.e.s, usager.e.s
d’espaces culturels et passant.e.s... créant
ainsi une communauté éphémère
et créative.
Accompagnant l'oeuvre finale, une exposition raconte
ce projet
incroyablement humain et inédit, par des
photos et de riches compositions sonores fait des
paroles des participant.e.s venu.e.s
de tous horizons.
TRAMES,
c’est la rencontre de personnes et de lieux
autour d’un
objectif commun et fédérateur, c’est
un geste collectif, fait d’apports individuels
et singuliers, qui cherche à renouer une
confiance en soi et aux autres, une expérience
pour nourrir les sensibilités, un levier
d’émancipation, un élan.
L’œuvre et l’exposition seront installées
du 4 juillet au 31 décembre
2024
Accès
et visite libres et gratuites
#
HOROSCOPE décembre
2024
Par
l'idiot du vill@ge
Bélier
(21 mars-20 avril)
Balance
(24 sept.- 23 oct.)
Qu'est-ce
que le bonheur sinon l'accord vrai entre un homme
et l'existence qu'il mène ?
La
réalité n'est qu'un point de départ,
jamais un but en soi.
Taureau
(21 avril-20 mai)
Scorpion
(24 oct.-22 nov.)
Le
problème avec les hypothèses, c'est
qu'elles se multiplient à la vitesse du son,
si on se laisse aller.
Que
deviendrait le monde si nous étions humains
?
Gémeaux
(21 mai-21 juin)
Sagittaire
(23 nov.-20 déc.)
Nos
destins sont prévus, nos moments sont comptés.
L'absence
n'est rien d'autre qu'une présence obsédante.
Cancer
(22 juin-23 juillet)
Capricorne
(21 déc.-20 janvier)
Que
pouvons-nous demander de plus que d'être heureux
un instant ?
Il
y a des inimitiés dont il ne faut pas se
priver. Se taire, c'est se corrompre.
Lion
(24 juillet-23 août)
Verseau
(21 janvier-19 février)
Chacun
de nous transporte en soi le centre de l'univers
On
ne se libère pas d'une chose en l'évitant,
mais en la traversant.
Vierge
(24 août-23 sept.)
Poissons
(20 février-20 mars)
Ayez
surtout le souci de séparer les choses du
bruit qu'elles font.
Il
n'y a pas de seconde chance, sauf pour les remords.
